Vous souhaitez faire du pain biologique chez vous? C'est facile! Voici comment faire:
Les ingrédients:
Préchauffez votre four à 220°c Sur une balance en grammes (où verre mesureur) versez 200g de farine, continuer la préparation dans le saladier de la balance où prenez en un autre. 2ème étape: Préparer la levure... dans une petit verre versez environ 3 cuil. à café d'eau tiède, puis un demi sachet de levure de boulangerie. Versez là dans la farine, puis ajouter environ un petit verre d'eau, d'eau et deux cuil. à soupe de sel non bombée. 3ème étape... Le pétrissage Dans le saladier mélanger la préparation avec une cuil. en bois où à soupe? jusqu'à obtenir une patte. Puis avec les mains faite une petite boule que vous frapper pas trop fort (sur quelques chose de solide!!) faites sa environ 10 à 15 minutes, jusqu'à obtenir une pattes bien lisse. Laissez là se reposer 10 minutes (pour les levures "sans temps de repos") et jusqu'à 30 à 45 minutes pour les levures avec repos. Votre pattes aura surement grossi un peut. 4ème étape... Donner une forme au pain Donner la forme à votre pain. Puis humidifier le faites plusieurs petites strilles avec un couteau fin que vous recouvrerez d' un peut de farine. Mettez votre four à 200°c où 210°c et enfournez votre pain. Ressortez le une fois que les strilles sont devenue assez grosse et qu'il à bien gonfler (environ 15,20 où 30 minutes selon la puissance de votre four). Voilà votre "baguette" est prête! N'hésitez pas à partager vos impressions! Puis envoyer vos photos de pain les meilleurs seront posté sur le site! ------------------------------------------------------------- Article entièrement écrit par La Nature Protection La notifications (app) de cette article sera envoyé lundi soir où mercredi.
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La betterave sucrière est un type de betterave cultivé pour sa racine charnue utilisée principalement pour la production du sucre (saccharose). Portrait d'une betterave sucrièreLa betterave sucrière se caractérise par sa racine conique et charnue, sa chair blanche et son collet plat. Les feuilles réparties en bouquet foliaire, plus ou moins développé selon la variété, constituent le laboratoire dans lequel se forme le sucre grâce à la photosynthèse. La racine constitue le réservoir : entre 15 et 21 % de sucre y est stocké. La variété sucrière, aujourd’hui plantée en France et en Europe, descend de la "Blanche de Silésie" sélectionnée à la fin du XVIIIe siècle par le chimiste allemand Achard pour sa teneur en sucre (7 %). Elle fut développée à l’origine dans les régions septentrionales (France, Belgique et Prusse). Une plante du NordContrairement à la canne, elle n’a aucune attirance pour les tropiques. Elle préfère les climats tempérés, assez humides d’avril à septembre avec des périodes sèches et ensoleillées juste avant la récolte. La délicatesse et la fragilité de la plante au début de sa vie conduisent les planteurs à lui réserver les bonnes terres, riches et profondes. En France, 90 % des terres plantées en betterave sont au nord de la Loire. Une usine à sucreChez la betterave, le processus de fabrication du sucre a lieu pendant sa première année de vie. Il est stocké dans la racine qui est presque complètement enfouie dans le sol et mesure de 15 à 35 cm de long. La betterave est alors récoltée car si on la laissait poursuivre son cycle végétatif, elle entrerait en phase reproductive et utiliserait, l’année suivante, tout le sucre afin de fabriquer des graines. Une culture en trois tempsSi la culture de la betterave occupe le sol huit mois de l’année, l’agriculteur, lui, soigne sa terre 12 mois sur 12. Cette culture rentre dans un processus qui prend en compte la préservation de la terre, de l’air et de l’eau. En hiver, le planteur de betteraves fait des analyses de terre pour mesurer la quantité d’azote présente dans le sol. Au printemps, les terres sont ensemencées. A l’automne, c’est la récolte. La récolteEn France, la récolte commence fin septembre et doit être terminée avant les grands froids. Principale préoccupation du planteur : livrer aux usines une betterave de qualité avec le moins de terre possible. L’arrachage se fait mécaniquement. Une même machine permet d’effectuer ce travail : elle comporte à l’avant une effeuilleuse, et à l’arrière une arracheuse. Avant le transport, les déterreuses assurent le nettoyage des betteraves. Le transport n’est pas une mince affaire car il faut faire vite : les betteraves arrachées perdent très vite de leur teneur en sucre. Pendant les deux ou trois mois de récolte, les sucreries travaillent jour et nuit. Une agriculture performanteSelon la qualité du semis, du sol, des engrais, des soins, et du climat, les rendements varient entre 50 et 80 tonnes de racines à l’hectare. Lors de la campagne 2015-2016, le rendement français moyen s’est élevé à 88 tonnes de betteraves à l’hectare : des résultats qui placent l’Hexagone parmi les leaders mondiaux en termes de productivité. Les recherches génétiques, la sélection des semences, la lutte contre les maladies et les parasites, la mécanisation des différents travaux de culture et de récolte ont permis à cette culture de réaliser d’importants progrès. Pour mémoire, en 1960 et 1980, les rendements s’élevaient respectivement à 48 et 51 tonnes de betteraves à l’hectare ! [SOURCE: lesucre.com] Une fois récoltée, la betterave est transportée jusqu’aux sucreries où l’on en extrait le sucre. La betterave pers vite son sucre une fois sortie de terre il faut allors vite extraire le sucre! Voici comment extraire le sucre de la betterave [SOURCE: La Nature Protection] Un procédé d'extraction naturel Le sucre stocké au cœur de la plante est naturellement constitué grâce au processus de la photosynthèse. Pour qu'il parvienne au consommateur, il faut l'extraire de la plante : le sucre consommé est donc issu d'un travail d'extraction. Un principe quasi-identique à celui de la canneIl s’agit d’isoler le saccharose en éliminant, par étapes, les autres composants de la plante. Pour retirer le sucre des cellules végétales, il faut le séparer des impuretés et éliminer l’eau dans laquelle le sucre est à l’état de solution. Au terme de ces opérations, le sucre a été successivement extrait, purifié, concentré et cristallisé sans aucune altération ni transformation chimique. Afin de conserver toute leur richesse en sucre, les plantes sucrières doivent être transformées rapidement. C’est pourquoi les sucreries sont implantées à proximité des zones de culture ; et c’est pourquoi la sucrerie a une activité saisonnière, de fin septembre à fin décembre. De la betterave au cristal de sucreLe cycle de reproduction d’une betterave s’établit sur deux années. La première année voit la plante accumuler des réserves dans sa racine sous forme de sucre : c’est la phase végétative. Après cette période de croissance, la deuxième année (ou phase de reproduction) utilise l’énergie stockée pour la floraison et la production de graines par fécondation croisée. Pour la production de sucre, la betterave est donc récoltée dès la première année, lorsque les réserves de sucre dans la racine sont maximales (de 15 à 20% de son poids en sucre). [...] L’extraction du sucre ne raffine pas le sucre Cette extraction permet donc de séparer le sucre des impuretés de manière mécanique. Le process ne présente aucune étape de raffinage. Le sucre issu de la betterave sort naturellement blanc de la sucrerie : pas besoin de le raffiner ! Le sucre issu de la canne à sucre sort lui naturellement roux. Ce sucre est majoritairement consommé en l’état. Seul 5% de la production de sucre roux est raffiné au sein d’une raffinerie pour obtenir du sucre blanc. [SOURCE: lesucre.com] Vidéo "C'est pas sorcier" sur le sucre et betterave à sucre: Le chien ne doit pas vous mener par le bout du nez, mais vous pouvez, sans céder à ses caprices, connaître ses préférences. Il faut tout d’abord noter que la majorité de ses préférences alimentaires sont innées. Étant donné la nature carnivore du chien, les produits d’origine animale sont généralement beaucoup plus appréciés que les produits d’origine végétale. Le goût pour certains aliments peut cependant aussi s’acquérir.
C’est juste avant le sevrage (de l’âge de 4 à 7 semaines) que se prennent deshabitudes alimentaires très durables, sinon définitives. Le jeune chiot s’éduque, imite le comportement de la mère qui apprend à sa progéniture à choisir ses aliments, mais aussi à chasser, à se sociabiliser. Il faut, à cette période, varier les sources alimentaires et les types d’aliments du chiot pour faciliter son adaptation ultérieure à des régimes différents ; à l’âge adulte, il pourra manger la même alimentation. Les aliments favoris du chienLes protéines animales sont très appréciées des chiens. L’industrie agroalimentaire les utilise beaucoup pour augmenter l’appétence des aliments composés haut de gamme (par opposition aux produits végétaux, qui ont l’effet inverse). L'aliment pour chien qui domine dans la nourriture est esssentiel. Le foie et l’estomac crus sont encore plus appréciés que les viandes cuites. Les préférences vont au bœuf et à la volaille, avant l’agneau et le cheval. Cru, le boeuf resterait au premier rang (il préfère le bœuf cru), devant l’agneau, les volailles, le cheval et le porc. Les abats rouges sont préférés aux abats blancs. Les matières grasses animales (graisse de volaille, gras de porc) sont, elles aussi, très prisées et préférées aux huiles végétales. Le sucre est un cas à part : à l’état naturel, le chiot n’a pas connaissance de ce goût, car ses aliments ne contiennent aucun constituant sucré. C’est donc seulement le maître qui va proposer cette saveur. À noter que la palette de goûts peut évoluer : il a été démontré que des animaux pouvaient développer une préférence pour des saveurs consommées juste avant ou au cours de la guérison d’une maladie. Les critères d’appétence du chienL’humidité des aliments : les préparations humides sont plus appétissantes que les aliments composés secs. Une teneur en eau de 40 à 50 % paraît être le seuil le plus apprécié. L’attirance pour les aliments secs n’apparaît pas de façon naturelle. La présentation : les conserves et les morceaux sont mieux « goûtés » que les produits frais hachés ou broyés, eux-mêmes cependant plus recherchés que les croquettes. Source: Wamiz Les peupliers sont des arbres du genre Populus de la famille des Salicacées. Peupleraie en Dordogne Alignements de peupliers le long d'uncanal néerlandais Peuplier canadien (Populus × canadensis) Feuilles du peuplier tremble eurasiatique (Populus tremula), de l'arbre adulte (à gauche), juvénile (à droite) Section d'un tronc. l'écorce est fine. Le sciage a un effet localement pelucheux Peuplier noir, autrefois commun, en voie de forte raréfaction (disparition, localement) à la suite de son remplacement par des clones de cultivars Inflorescence de peuplier canadien Graines de peuplier, et la bourre qui les aide à se faire transporter par le vent ou l'eau Saperda carcharias, l'un des insectes saproxylophages qui se nourrit du peuplier Grands peupliers dans un parc, près de la rivière Rednitz Bourre cotonneuse du Populus maximowiczii Bois de peuplier déroulé, fragile, mais léger Cultures en courte rotation de cultivars de peupliers hybrides. Les plus grands à gauche ont 4 ans, et la rangée de droite a un an.Le genre Populus englobe 35 espèces des régions tempérées et froides de l'hémisphère nord. Il comprend aussi de nombreux hybrides naturels ou artificiels (créés par l'homme). Les peupliers, arbres à la croissance rapide se rencontrent rarement en forêt dense mais plutôt dans les ripisylves et aux abords des zones humides où comme les saules, ils sont appréciés des castors , et ils recèpent ou drageonnent facilement quand ils ont été coupés par ces derniers. Ils croissent sur les terrains humides voire temporairement inondés. Leur système racinaire, important, souvent superficiel et traçant (comme celui du peuplier d'Italie par exemple) peut détruire des murs, soulever lesenrobés bitumés et coloniser des tuyaux d'égouts. Certaines espèces (peuplier tremble) peuvent pousser sur des sols sableux pauvres et supportent relativement bien les embruns marins, à une certaine distance de la mer toutefois. Leur culture est nommée populiculture. En dehors des espèces spontanées, de nombreuses variétés ou cultivars sont à la disposition des sylviculteurs (populiculteurs). Le séquençage du génome du peuplier de l'Ouest a été annoncé en 2004 et publié en 20061. Le peuplier étant un arbre à croissance rapide (d'où une évaluation vite disponible lors de tests) et progressivement entièrement séquencé, il devient le premier arbretransgénique en 1986 et est depuis l'essence qui a fait l'objet du plus grand nombre d'essais et de tests (47 % en 2005) d'arbres génétiquement modifiés (une souche en France, par l'INRA et d'autres au Canada)2. Carte d'identité: Populus Peuplier Classification de Cronquist (1981)RègnePlantae Sous-règneTracheobionta DivisionMagnoliophyta ClasseMagnoliopsida Sous-classeDilleniidae OrdreSalicales FamilleSalicaceaeGenre Populus L., 1753 Classification APG III (2009) Classification APG III (2009)OrdreMalpighiales FamilleSalicaceae Source WIKIPEDIA La classification. Le renard est un mammifère. Il est carnivore, il fait partiede la famille des canidés. L'habitat. Il vit en bordure des forêts et se cache dans un terrier. Ce terrier est haut et profond. Il le creuse, mais le plus souvent, il occupe celui d'un autre animal (le blaireau, par exemple). Son souci majeur est de ménager son terrier sûr et très bien caché. Dès qu'il sent qu'un de ses ennemis l'a découvert, sans hésiter, il change d'habitation. La description. De taille moyenne, le renard possède un museau long et pointu, de larges oreilles bien dressées au-dessus de sa tête et une superbe queue longue et touffue. Il mesure entre 60 et 90 centimètres. Son pelage est brun-roux, mais peut varier du jaune au brun. Son ventre est blanc. L'extrémité de la queue est blanche. Le renard possède cinq griffes aux pattes avant mais les pattes arrière n'ont que quatre griffes. Il a des moustaches sur le museau. C'est un vertébré, il a une colonne vertébrale. La longueur du renard est d'environ 110 à 130 centimètres. Les caractéristiques. C'est un animal rusé et très vorace. Son poids, de 6à 7 kilos, peut atteindre parfois 13 kilos. Il s'adapteà beaucoup de situations. La fourrure change de couleur etd'épaisseur en fonction du climat. Il nage dans l'eau, ilchasse la nuit et même dans l'eau. Le renard s'approche de plusen plus des villes car il y a de moins en moins de forêts. La nourriture. Le renard est carnivore, ce qui signifie qu'il mange de la viande,des poules, des mulots et des souris. Il se nourrit aussi d'oeufs, delézards, d'insectes, de charogne, et même de fruits etde baies. A la tombée de la nuit, il se glisse entre lesherbes avec précaution, prêt à agir. Presque tousles petits animaux doivent le craindre. Il mange aussi les restes despoubelles. Les prédateurs et les proies durenard. Les prédateurs du renard sont le loup et l'aigle royal, lesfaucons, les chasseurs et les chiens, ainsi que l'ours. Lesprédateurs du renardeau sont l'aigle royal, le hibou grandduc, le vautour et le lynx. La reproduction. Une fois par an, au mois de mars, la renarde donne naissance à une portée de 3 à 5 petits, parfois plus. Ils ouvrent les yeux vers deux semaines et sont adultes vers trois mois. Les renardeaux restent environ six mois avec leurs parents. |